 |
 |
 |
 |
|
|
||||||||||
|
| Leather
Slave II - LP Video Disease Records 2015 On prend les mêmes et on recommence ! La nana à moitié à poil qui aimait tant les fruits a mal fini, c’était trop beau pour durer… Carrière météorique, les enfants. Covoiturer avec nos gros porcs encagoulés comporte des risques, on s’en doute, et les gusses ne sont pas trop du genre à décrocher les 5 étoiles sur BlaBlaCar. Qu’importe, la pochette est fraîche ! En fait une simple photocopie N/B collée sur une pochette blanche générique, pour un nouvel album sorti chez Video Disease en 2015 cette fois, mais chuuuut ! Pour le reste, c’est un peu la même limonade Brainbombs-iène que sur le précédent mais avec un zeste de Gin et de citron moisi quand même ! Entendre par là que cette fois-ci aucun effet de crescendo, on est directement balancé à coups de fouet dans le vif du sujet avec un Human Horse franc du collier et rentre-dedans pour s’enfoncer sans crier gare dans une contrée boueuse et infecte avec Mush Mouth et surtout le lancinant, et long, My Car Is My Car qui clôture la face A. Face B, on repart en Mercedes avec Eyeball Bird, ça sent sacrément le fauve, penses-tu qu’ils ouvriraient la vitre lorsqu’ils fument ces fichus primates... Le morceau s’arrête en plein milieu pour enchaîner sur une reprise plutôt dispensable du Rebel Girl de Bikini Kill. Si c’est ça, autant piquer un roupillon sur la banquette en skaï marronnasse ! Parle-pas trop vite étranger, Slow Crawl déboule ! Ça ramone dure, du grand art. Damned, plus d’essence, on s’arrête dans une station service crado, et on se croirait dans Texas Chainsaw Massacre avec ce Redneck dégénéré accroché à sa pompe… Piss Pet, coco. Ça joue tout en retenue, ça susurre… C’est forcément louche… Petit à petit, c’était à prévoir, ça recommence à gueuler et tout s’accélère jusqu’à l’agonie bien méritée. La bagnole repart en trombe sans raquer le plein de super, et mon petit doigt me dit qu’il va falloir que je m’y recolle bientôt car les affreux viennent de sortir un nouveau 12'' EP toujours chez Video Disease. Vincent/LNO (07/10/2015)   |
